Attn: Louis Labbé. Mon cher Monsieur. En supposant que tu te souviens de moi ayant veillé sur Paul-Émile Maillhot pendant deux nuits dernièrement, je te dois des excuses pour des propos que j'ai adressés à ton endroit. Mais, constat d'après suite, entre ce que la famille m'offrait et ce que tu m'as offert, il y a une très grande marge de différence. C'est justement ce dont j'avais besoin pour faire parvenir à des amis d'Abidjan pour les sortir de leurs mauvaises positions. Que malheureusement une arnaqueuse connu s'est saisi avant même que les destinataires en prennent possession. La police des lieux s'en occupe pour l'envoyer là où elle est du, publicité faite à travers les journaux.

Je te dis donc malgré tout un grand merci, et mes excuses pour t'avoir mal jugé...